Bouton panique pour donner l’alarme

Chez SITADELL, le bouton Panique est connecté à un détecteur de mouvements avec capteur photo intégré. Grâce à cette association, le détecteur réalise automatiquement une série de photos dès que le bouton Panique est pressé. Ces images sont immédiatement transférées au centre de télésurveillance, de façon que les opérateurs puissent analyser sans délai la situation et répondre de façon adaptée.

Le bouton Panique se présente comme un petit appareil en plastique blanc et gris. l peut être portatif (pendentif, bracelet, clip ceinture) ou fixe (sous un bureau, comptoir), il permet de déclencher une alarme anti agression, anti hold-up.

Il fonctionne sans fil et ne présente qu’une touche principale bien délimitée, de façon que l’on puisse l’actionner sans regarder ses mains. Il est donc conçu pour être dissimulé à proximité de toute personne exposée à une menace de type braquage ou hold-up.

Dans un commerce, on l’installera donc par exemple près de l’employé qui tient la caisse de façon à pouvoir l’actionner rapidement. La protection offerte par le bouton Panique réside dans la discrétion. Sans alerter le cambrioleur ou le braqueur, ce bouton Panique spécial commande la réalisation d’une série de photos qui sont transmises au centre de télésurveillance. Elles vont servir à effectuer la levée de doute préalable à toute alerte aux forces de l’ordre. Au-delà de la flagrance, ces images sont enregistrées et stockées de façon sécurisée dans les infrastructures du centre de télésurveillance. De cette façon, elles pourront être utilisées dans le cadre d’une enquête de police ou d’une procédure judiciaire.

Le dispositif repose sur un bouton poussoir qu’il suffit de presser pour déclencher l’alarme silencieuse. Un signal radio est alors transmis sans fil à la centrale d’alarme qui demande à son tour au détecteur de mouvements de réaliser une rafale de photos. Ces informations (alarme Panique et images) sont immédiatement transférées au centre de télésurveillance où un opérateur est averti d’une situation d’urgence. Il exploite alors les moyens de communication intégrés au système d’alarme pour voir et écouter à distance ce qui se passe sur les lieux, et visionne les images capturées lors du déclenchement de l’alerte pour qualifier le plus rapidement possible la situation. Dès qu’il a pu constater la flagrance d’un délit ou d’un crime, la levée de doute est effectuée : l’opérateur de télésurveillance est alors en mesure d’alerter les forces de l’ordre auxquelles il transmettra toutes les informations utiles.

(après levée de doute avérée selon les conditions de l’article L.613-6 du code de la sécurité intérieure).